« […] Je devais avoir onze ans, je me rappelle encore du jour ou ma mère m’a emmenée dans les magasins chic de New-York, mon père qui était un riche homme d’affaire lui avait laisser un peu d’argent pour que l’on puisse se faire des cadeaux. Elle s’est arrêtée devant une boutique, une belle boutique chanel, des mannequins étaient presque plaqués devant la vitrine, habillés magnifiquement bien, elle m’a regardée, s’est baissée un peu et en souriant elle me dit : « Tu sais princesse, un jour, toi aussi tu portera tout ces beaux habits » puis nous avons repris la route […]. Les gens me trouve trop commune dans ma façon d’être, ce que j’entend par la c’est que je déteste être hors du rang. Je ne suis pas le genre de fille aguicheuse qui n’a pas froid aux yeux et qui laisse dépasser ses sous vetements de mon pantalon. Je prefère ne pas me démarquer, c’est plus simple ainsi non ? Je prend soin de moi, parce que dirons nous, j’ai les moyens de me faire belle et de prendre soin de moi. Mes parents détestent que certaines personnes m’influençent et j’estime qu’ils m’ont bien éduquée. Bref c’étais ma parenthèse enchantée. J’adore porter mes vetements de marques haute couture, je suis une fille qui ne donne jamais son opinion, du moins presque, j’ai été élevée comme ça que voulez-vous… ? J’ai passer plus de trois ans a laisser pousser mes cheveux qui ont vu passer du blond, du chatain, du roux et j’en passe. Je tente de rester fidèle a moi-même, mais vous savez que la société de nos jours nous poussent a l’éxcès. On dit de moi que je suis assez grande, que d’une certaine manière je fais penser a une brindille, svelte et élancée, une petite poitrine et un fessier taille réduit. Oui bien souvent on me marche sur les pieds et je ferme les yeux sur plein de chose, mais j’y suis forcée, trop de gens me critiquent sans me connaître et ça je hais les gens qui ne sont pas franc, j’admire les gens qui ont de l’audace et je jalouse celles qui osent. Mon Nom est Quinn Lyz Hudson, je suis riche et je m'assume. »

« Once upon a time… »

Je suis née dans une famille aisée et, à mon plus grand bonheur j’ai toujours été gâtée. Je suis venue au monde un certain 31 mars mille neuf cent quatre vingt douze au matin. Il faisait beau a ce que l’on m’a dis, je suis fille unique. Mes parents qui m’attendaient depuis un petit bout de temps et qui avaient eu bien du mal à avoir un enfant étaient aux anges de me voir enfin. Martin Hudson Junior et Angelina Mariah Hudson, voila le nom de mes parents, mon père possède des entreprises un peu partout, c‘est un investisseur hors-pairs, et ma mère elle dirigeait et dirige encore une affaire dans le même genre. Ils m’ont aussi dis que j’étais le plus beau bébé du monde, j’avais de grands yeux bleus et j’étais frêle. Ils étaient mariés depuis déjà cinq belles années a ce que j’ai pus comprendre. La grossesse de ma mère a été très difficile et elle n’avait de cesse de s’inquiéter pour ma santé.

« I’m a Barbie Girl, In a Wild world. »

J’ai grandis a Aylesbury, que je n‘ai toujours pas quitté d‘ailleurs, j’ai grandi dans la demeure familiale. A mes six ans, ma mère fascinée par ma beauté m’avait inscrite a une agence de publicité locale, ce qui ne me passionnait pas des masses, seulement, je n’avais pas envie de la décevoir dans aucuns cas, alors je n’ai jamais broncher a ce sujet, dès que j’avais envie de quelque chose et même quand je n’en avait pas envie, j’avais des surprises, des cadeaux, des voyages, et comme ma mère est américaine d’origine, j’allais énormément visiter les Etats Unis. Voila ce dont je me souviens de mon enfance. Je me rappelle que tous les dimanches nous allions a l’église tous ensemble, pour la messe du matin. Ah non j’allais oublier, je n’allais pas a l’école, j’avais un professeur particulier, ce qui ne faisait que me renfermer sur moi-même. Elle me protégeait énormément, elle craignait qu’il ne m’arrive quelque chose, seulement a mes dix ans je lui en ai parlé, je voulais aller a l’école, je voulais avoir moi aussi des amis, pas seulement ceux des réunions du dimanche après midi au salon de thé du coin, pas seulement les plus riches. De vrais amis. Ce qui m’avait surprise c’est qu’elle avait accepté immédiatement, je crois que ma mère avait peur d’en faire trop a mon égare, je me rappelle que ma dernière année de primaire avait été un calvaire, les enfants avaient été ignobles avec moi. Depuis cette époque, c’est elle qui décide à ma place.

« Acné, boutons ? Connais pas. »

Je suis rentrée dans un lycée privé, même s’il n’était pas forcément à coté de chez moi, j’y allais chaque jours. J’avais des amies formidable, elles avaient des boutons, une peau grasse, bien qu’elles soient elles aussi issues de milieux aisés, elles ne prenaient pas autant soin de leur peau que moi, mais en même temps, mannequinat oblige. J’allais sans cesse chez l’esthéticienne, ma mère tenait absolument que j’ai un teint impeccable, je ne me maquillais pas et les garçons ne m’attiraient pas. Ils étaient tous stupides, ils ne pensaient qu’à une chose, prendre le plus de filles dans les toilettes du lycée. Tous les jeudi nous allions avec mes meilleures amies, chez Juliet Madison, une très bonne amie assez drôle et nous passions la soirée à se maquiller, à prendre des photos et à rire devant des films, ou a pleurer d’ailleurs. Disons que mon adolescence n’a pas été passionnante, j’étais une adolescente sans réels problèmes, tout allait bien chez moi, je n’avais pas de problèmes de cœur puisque je ne fréquentais pas de garçons. Je jonglais entre les cours, les révisions et les séances photos pour des publicités de produits cosmétiques. Ce métier attire les jalousies, et sans tarder j’en fit les frais sans le savoir, a bout je me suis battue avec une fille qui ne cessais de dire que je draguais son petit ami, alors que ce n’étais pas le cas - sans doute qu’il était au courant pour cette publicité que j’avais tout fait pour taire l’existence - et a cause d’elle j’ai perdu toutes mes amies, qui, comme des idiotes écoutaient les ragots. Mon père appris la nouvelle et remédia a tout cela, une semaine après cette histoire, la jeune fille fut virée du lycée et tout rentra lentement en ordre.

« Quinn Lyz Hudson »

J’étais enfin sortie du lycée, fini pour moi toutes ces idioties. J’avais un diplôme et ma passion pour le mannequinat - et oui parce qu’au fur et a mesure dans le temps, j’ai appris à apprécier cet art - me prenait énormément de temps. Je finis même par décrocher un contrat a durée indéterminée avec une agence locale, ce qui ne faisait que de me réjouir, en plus d’être payée a rien faire, je serais payée pour être belle, ce qui rendait mes parents fiers de moi. Et rien d’autre au monde ne me ferais plus plaisir que ça. Mes parents s’amusaient a recevoir des amis chez eux - les Weightman-, au début ce n’étais qu’une fois par mois. Je me rappelle encore de leur fils Lucas, je le connais depuis longtemps car nos parents ne cessaient de se croiser, sans doute qu’il devaient faire du golf ensemble, ou bien encore les repas des dimanches après midi a l’heure du thé chez les Johnson, mais je sais que je lui ai toujours trouver un petit quelque chose qui me plaisait bien, surement son assurance, et puis après tout il n‘étais pas horrible a regarder. Puis au fil du temps, ce sont eux qui ont commencer a nous inviter, dans un premier temps, c’était pour boire le thé, ensuite c’était a diner, j’ai donc commencer a parler un peu avec Lucas qui était une personne très agréable, nous passions très peu de temps ensemble, il me plaisait, je l’admet oui. Un jour, mes parents et moi parlions dans le jardin d’hiver, ils me disaient qu’ils avaient parler avec les parents de Lucas et que l’idée que le jeune et moi puissions nous marier leur plaisait énormément, ils m’annonçaient aussi sec que nous étions fiancés d’un commun accord avec les parents de ce dernier. J’étais simplement heureuse, attachée a lui, oui je l’étais, et j’espérais que pour lui c’étais pareil. Quelques jours après cette conversation les Weightman nous invitèrent a diner, réclamant une tenue correcte, sachant que j’allais voir Lucas et que nos « fiançailles » allaient être annoncées je m’était faite très belle. Je voulais moi aussi lui plaire, je montait en voiture, m’installant a l’arrière, mon père conduisait et en route il m’avait parler du jeune homme, sois disant qu’il trouvait que c’était un garçon charmant et qu’il serais parfait dans le rôle de mari, il disait que nous allions être heureux, nos parents étaient proches en ce moment et cette idée ne me déplaisait pas le moins du monde. Une fois arrivés, l’heure du repas arriva très vite et Lucas arriva a temps. Quand il s’installa en face de moi, sa mère se redressa et lui annonça aussi sec :

MRS WEIGHTMAN ▬ Lucas, mon chéri, nous avons quelque chose à t’annoncer.

Je me redressais lentement, passant ma main dans mes cheveux pour me recoiffer, il n’avait pas l’air rassuré. Je pinçais mes lèvres, baissant un peu le regard.

MR WEIGHTMAN ▬ Nous ne pensions pas que tu serais le premier à en arriver là, mais, le destin nous réserve bien des surprises, n’est-ce pas ?
MRS WEIGHTMAN ▬ Tu vas épouser Quinn, dit-elle toute excitée.

Je me rappelle qu’il a simplement souris, il a souris comme un idiot. Cela va faire un an que lui et moi somme fiancés, je vis maintenant dans le même quartier que mes parents, une maison voisine, je suis model pour des photos pour une agence un peu plus importante cette fois et je gagne bien ma vie, même si tout a l’air d’aller dans ma vie, j’ai peur que Lucas ne tienne pas a moi et qu’il en vois d’autres, seulement je me tais, je ferme les yeux comme on me l’a si bien appris. .

PSEUDO :Becky. AGE :17ans. AVATAR PRIS :Isabel Lucas. COMMENT AS TU ATTERI ICI :Grâce aux Partenaires. CE QUE TU PENSES DU FORUM :il est cool. CODE DU RÈGLEMENT : Sexe Intention. FICHE : [X] Terminé [] En cours UN PETIT MOT :Let's Have some Fun.