de son vrai nom Briséis Apollynaria Nightingale - Windsor, dîte Apolline ♚ est de la descendance directe de Lady Georgiana Spencer-Cavendish, ex duchesse de Devonshire ♚ so british à 200% ♚ boit du thé comme de l'eau ♚ ne jure que par l'Earl Grey et les biscuits au gingembre ♚ a attendu pendant beaucoup trop longtemps sa lettre de Poudlard ♚ a un goût prononcé pour les vêtements vintage et le style old school ♚ est très cultivée ♚ dévoreuse de livres ♚ préfère Molière à Shakespeare ♚ est cinéphile ♚ est la plus fervente et fidèle cliente du cinéma d'Aylesbury ♚ fanatique de Tim Burton ♚ addict aux Aventures d'Alice au Pays des Merveilles ♚ et à toute la culture qui tourne autour d'Alice au pays des merveilles ♚ fan de Johnny Deep ♚ fantasme sur Johnny Deep ♚ rêve de le rencontrer ♚ passionnée d'Histoire ♚ croyante pratiquante ♚ appartient à une très vieille famille de la noblesse anglaise ♚ fait partie de l'aristocratie britannique ♚ et de la jeunesse élistique et dorée ♚ écoute majoritairement des soundtracks ♚ aime des artistes et groupes tellement rares qu'elle n'arrive jamais à acheter leur album ♚ adore les animaux ♚ a trois chiens, deux chats, quelques colombes et une belette ♚ a une culture sur le monde d'Harry Potter aussi vaste qu'inutile ♚ est spécialiste en mythologie greco-romaine ♚ se passione pour l'Egypte Antique ♚ est fascinée par Sacagewea ♚ pratique la danse classique et contemporaine ♚ danse depuis qu'elle est ♚ ne saurait exister sans la danse ♚ adore les toits ♚ et les ciels orageux ♚ préfère les pivoines à toutes les fleurs ♚ et le gris à toutes les couleurs ♚ aime la pluie ♚ préfère l'automne ♚ est arachnophobe ♚ n'hésite pas à réveiller toute la ville à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit pour une bête à huit pattes

Georgiana Cavendish, duchesse de Devonshire, née Lady Georgiana Spencer, femme de beauté et d'esprit. Georgiana fut mariée au Duc Cavendish de Devonshire la veille de ses dix-sept ans. Un mariage d'affaire ou plutôt d'alliance entre les Spencer et les Cavendish amis de longue date, comme il y en avait partout à cette époque. Les filles n'étaient bonnes qu'à marier, jeunes à des hommes matures de préférence, voire même âgés. Georgiana n'est pas une exception, comme toutes les filles de son âge et de cette époque, elle suivait le chemin qu'on avait déjà tout tracé pour elle, soumise à un destin qu'on lui avait imposé, un prison dorée pour reprendre la métaphore traditionnelle. Durant sa vie, Georgiana peina à donner naissance à un héritier à son époux mais eu plusieurs petites filles, ce qui n'était pas sans déclencher la colère de monsieur le duc. Tous admirait la duchesse pour ses discours et son esprit, on se bousculait pour être invité dans son salon. Tous étaient fascinés par sa beauté, seul son époux ne remarquait pas le trésor qu'était sa propre femme ... Georgiana allait souvent à Bath, c'est là qu'elle rencontra Beth qui devint sa meilleure amie. Cette pauvre femme avait été abandonnée par son époux et se battait pour voir ses garçons. Georgiana se battait pour les droits des femmes, militant avec les suffragettes proposa d'héberger son amie. Mais la gentillesse de la duchesse se retourna contre elle, et Beth et son époux entretinrent une relation extra-conjugale sous les yeux de la duchesse. Lady Georgiana s'éprit de l'homme politique qu'étant Charles Grey, futur Premier Ministre. Comme elle acceptait le ménage de son époux et de sa meilleure amie sous son toit, elle pensait que le duc allait accepter son amour pour Charles. Or William Cavendish ne voulut jamais céder à son épouse ce qu'il lui faisait endurer, qui plus est, il n'avait toujours pas d'héritier légitime. Georgiana réussit à voir Charles à Bath de temps en temps, elle tomba enceinte de lui mais l'enfant de cet adultère fut confisqué par la famille Grey. La duchesse ne pu jamais revoir sa petite fille ni Charles. Finalement, elle réussit à donner un héritier au duc et du accepter le ménage à trois qui sévissait dans sa propre demeure. A la fin de sa vie, Georgiana donna sa bénédiction à William et Beth et fut donc destituée de son titre de duchesse, Beth devenant la seconde femme de William et par conséquent la duchesse de Devonshire. Elle mourut à l'âge de quarante huit ans, on sait qu'elle avait perdu un œil et sa mort est suspectée d'avoir été causée par un meurtre au poison. Le destin tragique d'une femme qui ne l'avait pas mérité, souvent comparée à Marie-Antoinette. Lady Diana Spencer est une de ses descendantes, et la vie ne lui a pas mieux réussie ...

La famille Nightingale Windsor descend d'Eliza Courtney la fille illégitime de Lady Georgiana Cavendish et de Sir Charles Grey. En un sens on peut dire que je suis une cousine très très très éloignée de Lady Di. Ca, c'est la dernière photo de famille que nous avons fait, pour Noël dernier. Ma famille, c'est ce qu'il y a de plus précieux pour moi. Quand tout s'effondre, quand on n'a plus ni toit, ni pain, ni travail ... la seule qui nous reste, c'est la solidarité familiale. Une solidarité quelque-peu obligée, par défaut au prix du sang, mais une solidarité tout de même. A ma gauche c'est père, non je ne vais pas vous parler de tous les membres de ma chère famille, juste de lui. Nous sommes une vieille famille de l'aristocratie anglaise, alors les parents vouvoient encore leurs parents et inversement. Car père est un homme formidable, certainement la personne à laquelle je tiens le plus au monde. C'est un homme politique très occupé, qui a pourtant su mettre de côté ses fonctions et s'occuper de moi jusqu'à ce que je puisse le faire moi-même à l'accident de maman. Oui mère n'est pas présente sur la photo, nous aurions pu la prendre dans sa chambre avec elle, mais j'avoue que ça aurait été un peu ... morbide. Mère, Ereese Isoire Windsor, architecte de son état. Elle a fait de grandes études et s'est fait un nom dans l'architecture, connue du monde entier pour qui s'intéresse à cet art. Autant vous dire que la maison est un vrai palais d'architecture, sa plus belle œuvre. Mère n'était pas souvent à la maison, elle partait parfois des semaines voir plus, appelée par un client à l'étranger. Tandis que Père rentrait tous les soirs tard, ou que les week-ends. Pendant ce temps, j'étais gardé par la nourrice ou était envoyée chez mes cousins ou mes grand-parents. Un jour, Mère a eu un accident. On me rapporta qu'elle avait pris la voiture, et demandée à son chauffeur particulier de l'emmener chez sa cousine la comtesse de York Miss Ferguson. Mais en chemin, le drame arriva. Oui, même une voiture de luxe tout équipée et horriblement chère ne protège pas mieux qu'une autre d'une collision. Des phares. Des klaxons. Des cris. Des crissements de pneus. Des mains crispant le volant. De la sueur perlant au front. Un accident de la route. La voiture ne ressemblait plus qu'à un tas de bouillie on rapportés les journaux. Mère n'est pas morte, mais mère n'a pas survécu pour autant. Mère est dans le coma, depuis plusieurs années maintenant. Grâce à l'argent de Père, Mère a été déménagée de l'hôpital à la maison. Comme ça au moins, le jour où elle se réveillera, elle sera chez elle. Une équipe médicale vient régulièrement auprès d'elle, et elle a tout un matériel médical autour de son lit qui l'a maintient encore en vie. Père aime vraiment Mère, c'est pour elle qu'il a fait tout ça. Il reste persuadé qu'elle se réveillera un jour et n'acceptera jamais d'éteindre les appareils.

Chaque famille a ses secrets, le notre se cache dans une des chambres de la maison, où Mère dort depuis fort longtemps. Comme la princesse qui attend le baiser de son prince charmant, entourées d'appareils médicaux. Comme toutes les bonnes familles, il était de mise que je soit envoyée en pensionnat. Une école très chic, très sélecte, très privée et très chère, mais prestigieuse. De ce genre d'école où les héritiers de l'élite anglaise se retrouvent entre eux. Hailsham s'appelait l'école. Un pensionnat très strict. Aucun élève ne rentrait chez lui le soir, aussi proche soit sa maison. Nous étions tous logés à la même enseigne. Des enseignements très stricts, dignes de la vieille école. Il fallait se tenir bien droit, ne pas broncher, ne pas jurer, toujours être propre sur soi. On appris à bien manger, à bien se tenir, à bien s'habiller ... Nous n'avions jamais le droit de sortir du pensionnat, comme si l'extérieur était dangereux. Les sanctions et les punitions étaient très dures, mais c'était pour nous rendre plus fort parait-il. Pour les vacances, nous rentrions chez nous. Je ne me suis jamais plainte à Père, je pensais que c'était normal, que toutes les écoles fonctionnaient de la même manière. Et puis, de toute façon, on avait appris à ne pas se plaindre. Même pendant les vacances, j'avais une préceptrice à la maison qui surveillait mon langage, mes tenues, mon comportements, et me faisait faire mes devoirs.

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Et puis il y a eu ma passion pour la danse, comme un échappatoire. Là, au gré de la musique, je laissai mon corps aller et venir. J'ai commencé par la danse classique, désormais je pratique aussi de la danse contemporaine. Père a remarqué mon attrait pour cet art et a compris que c'était important pour moi. Il a donc ouvert le porte-feuille pour aménager une salle de danse dans la maison et louer les services d'un professeur particulier. J'avais le souffle, je devais acquérir la technique. Je travaillais de longues heures avec mon professeur a répéter sans cesse les mêmes gestes jusqu'à ce que ce soit parfait. J'ai hérité d'un esprit très déterminé, ambitieux, travailleur et pointilleux. Je recherchais toujours la perfection. La nuit, dans mes rêves, je rêvais de danse, je répétais les pas. Parfois je me levai et m'installer seule devant mon miroir et je répétais encore les même gestes. Je me mis aussi à regarder en boucle en faisant marcher à outrance le bouton pause, les vidéos des plus grands ballets, essayant d'imiter leurs pas, leurs technique. Cette passion a grandi, elle est devenue une vocation. Danser, c'était une évidence pour moi, j'étais faite pour ça. Père et ma famille auraient certainement préférés me voir faire des études de droit pour avoir une place importante dans la société ou d'architecture pour suivre le pas de Mère mais c'était l'art qui m'attirait. Et qui sait, je pourrais très bien devenir une danseuse mondialement connue. Il suffit d'y croire.

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PSEUDO : clumsy.doe AGE : l'âge de mes artères AVATAR PRIS : keiraTHEDIVINEknightley COMMENT AS TU ATTERI ICI : par bazzart CE QUE TU PENSES DU FORUM :au delà de mes espérances, il faut qu'il dur God ! CODE DU RÈGLEMENT : FICHE : Edward Scissorhands UN PETIT MOT : God save Catherine & William