ÊTRE JULIETTE C'EST : adorer les comédies romantiques ☮ être la cadette de la famille ☮ passer ses journées à étudier ☮ne pas supporter la cigarette ☮ détester l'alcool ☮ rigoler de tout et de rien ☮ aimer rendre service ☮ être investi dans plusieurs associations caritatives ☮ parler couramment anglais, français, espagnol et chinois ☮ rêver de voyager à travers le monde ☮ être particulièrement fan de Mozart ☮ être la fille d'un avocat ☮ vouloir vivre en France ☮ lire énormément ☮ avoir deux frères plus âgés ☮ pratiquer la danse classique et le patinage artistique ☮ avoir été élue reine de promo deux années consécutives ☮ détester les films d'horreur ☮ croire en l'amour ☮ rêver de vivre dans un château ☮ être ni trop bavarde ni insociable ☮ détester les sucreries ☮ connaitre toute la ville ☮ avoir une machine à barbe à papa chez soi histoire d'avoir l'impression d'être à la fête foraine ☮ collectionner les bijoux anciens ☮ ressortir les répliques du film français jeux d'enfants à tout bout de champs ☮ passer ses journées chez soi ☮ vouloir travailler comme médecin ☮ vouloir faire des études de médecines ☮ passer sa vie à obéir à ses parents ☮ donner des cours particuliers de mathématiques à des jeunes de son quartier ☮ avoir vu tous les films de Woody Allen ☮ ne pas supporter Tom Cruise ☮ avoir rencontré des Français ☮ rêver d'assister à un défilé de haute couture ☮ détester par dessus tout l'hypocrisie. ÊTRE JULIETTE C'EST ÊTRE: sociable ☮ souriante ☮ douce ☮ calme ☮ franche ☮ moyennement maniaque ☮ courageuse ☮ simple ☮ rancunière ☮ maladroite ☮ athlétique ☮ rêveuse ☮ ouverte ☮ serviable ☮ intelligente ☮ optimiste ☮ humble ☮ positive ☮ populaire ☮ adorable ☮ ordonnée ☮

« Juliette, il est 19h30 ! Fermes moi ce livre et va dormir s'il te plaît. » disait ma mère. En ce temps là, j'avais six ans. Dans tout le quartier, tout les parents rêvait d'avoir un enfant modèle comme moi. J'étais polie et très éveillée comme enfant. Tout les enfants de mon âge enviait mon caractère et mon intelligence c'est pour ça qu'étant jeune je n'avais pas d'amis et cela m'était égale parce le seul ami qui comptait pour moi était " Monsieur Bubble " il savait faire des bulles et je lui confiais tout lui au moins je sais qu'il ne me trahirait pas. Revenons à nos moutons, j'avais comme par mon habitude obéis à ma mère en montant dans ma chambre et m'empressant de dormir avec ma peluche. Quand le silence s'installa chez moi, je pus fermer les paupières et m'emmener dans le plus beaux des rêves. J'étais dans le monde des merveilles sauf qu'il n'y avait pas d'Alice. La Alice, et bien c'était moi et quand je faisais ce genre de rêve j'avais tendance à sourire pendant que je dormais ce qui parfois faisait peur à certaines personnes ou parfois ces personnes ne pensaient pas que je dormais ce qui m'amusait en voyant leurs réactions. Pour moi, mon enfance était loin d'être difficile au contraire j'adorais la façon dont mes parents m'éduquaient loin des méchants et autres personnes dont je n'avais pas confiance.

« Juliette ... Peux-tu descendre de la cuisine, s'il te plaît. » disait mon père d'une voix anormal. J'aurai du m'attendre à ce qu'il m'annonce une mauvaise nouvelle, mais au contraire j'arrivais devant mon cher père avec un sourire éclatant, des yeux pétillants et pleines d'étoiles. Comme toujours dirait-on, pour ne pas affronter mon regarde mon père se contenta de baisser la tête et partit se réfugier où on ne pouvait pas le voir pleurer. Pourquoi ? Parce que une partie de moi avait disparue, c'était ma sœur qui était morte. C'était celle qui ratait toutes les pyjamas parties avec ses amies pour me garder, elle aussi avait héritée de ce sourire qui pouvait illuminer une vie. Ce moment comme vous l'avez devinez à été un gros tsunami si je puis le dire. J'avais passée six mois à m'effondrer sur mon lit et à prier pour que ma sœur revienne. Elle était morte d'une leucémie. Pendant six moi je ne me faisais pas à l'idée que mon propre sang parviendrait à mourir, après quinze ans de lutte et une vie assez parfaite je n'aurai pas crus que ma famille serait à nouveau capable de sourire. Leurs première fille qu'ils voulaient tant avoir venait d'abréger ses souffrances et venait de mettre jour aux notre. « Papa, maman .. Que puis-je faire pour la faire revivre ? Je sais que je peux la faire revivre croyez moi ! » je savais que je ne pouvais rien faire, mais j'aurai tellement souhaitée mourir à sa place parce que je savais très bien qu'elle était la chouchoute de la famille. Hormis le fait que je sois une enfant modèle c'était toujours elle la meilleure, et non .. Je n'étais pas jalouse d'elle, loin de là ! Je l'admirais pour ce qu'elle était.

« Ne t'occupes pas de ça ma puce, va en cours et que cette histoire ne t'affecte pas. Pense à Julia, elle aurait voulu que tu continue tes études de médecine et qu'un jour toi aussi tu soigne des patients ayant la leucémie. » ma mère se montrait forte, mais il y avait un moment ou elle se rendait plus à son lieu de travaille. Six mois douloureux était passés, et je ne pleurais plus. Je ne me disais plus que tout était de ma faute et que j'aurai pu faire quelque chose mais en faite non. Quand j'avais dix huit ans, je faisais de mon mieux pour donner de la nourriture aux sans papiers, SDF, et faire quelque dons pour les orphelins. Toutes ces activités m'aidait à passer le fait qu'un être cher soit partit. Et puis le jour des messes, je passais mon temps à prier pour que les êtres les plus importants à mes yeux meurent d'une vie heureuse comme il se doit.

« Juliette, peux-tu dire à ce jeune homme d'aller autre part que l'église pour fumer. Je veux que la célébration soit parfaite ! » j’acquiesçai de la tête et me dirigea vers le jeune homme qui était brun de première vue. Respectueusement je dis au jeune homme qui se nommait Lou de partir de ce lieu. Étant entrain de fumer, il me cracha toute la fumée de cette fichue cigarette à la figure. Tout en grimaçant et d'un geste brute avec mes mains j'essayais de faire partir la fumée. Je lui répliqua quelque paroles qui lui avait fait disparaître son sourire puis il écrasa sa cigarette à mes pieds, tout en me défiant du regard il partit. « Ridicule ! » criais-je même si de ma petite voix je ne pense pas qu'il ait entendu. J'avouerai que cette scène m'avait énervée quand j'avais à faire à ce genre de personnes qui se croient rebelles, je me retenais de distribuer des paires de claques. Puis une année après, je revis la même personne au même endroit fumant une cigarette. Bien entendu je ne voulais pas avoir de problèmes donc je me contenta de continuer mon chemin et de passer à côté de lui. Croyant qu'il allait m'ignorer, il m'attrapa le bras et surprise je lâcha un " Oh " significatif. J'avais vu un rebelle se transformé en saint et me présenter des excuses, à ces paroles je lui ricana au nez. Je pouvais très bien refuser ses excuses mais de la façon dont on m'avait éduquée je devais pardonner. C'est à ce moment qu'avec Lou nous nous créâmes un lien. Je l'avais invitée à boire un café, pour lui faire part de mes conseils en tant que sainte il se devait de se rendre aux associations caritatives. Sur le fait que je sois naïve, je restais un minimum méfiante. Parce qu'il était certes bizarre qu'un homme comme Lou veuille écouter ce que je lui recommandais. Mais juste parce qu'il est attentionnée et que je ne peux le résister, je resterai à son service.

PSEUDO : Strawberry.Cake AGE : Seize ans AVATAR PRIS : Jessica Sula COMMENT AS TU ATTERI ICI : Via Bazzart CE QUE TU PENSES DU FORUM : J'adooooore le contexte. CODE DU RÈGLEMENT :pretending he's besides me FICHE : [X] Terminé [] En cours UN PETIT MOT : Vive les fraises (a) ?